L'EMCDDA propose des mini-guides. Celui sur le cannabis fournit une vue d'ensemble des aspects les plus importants à prendre en considération lors de la planification ou de la fourniture de réponses sanitaires et sociales aux problèmes liés au cannabis, et examine la disponibilité et l'efficacité des réponses. Il examine également les implications pour les politiques et les pratiques.

La retraite et le vieillissement s'accompagnent de changements auxquels il faut réfléchir et qu'il faut maîtriser. La brochure donne des conseils pour bien gérer cette nouvelle étape de la vie et des informations sur la manière de consommer l'alcool et les médicaments en limitant les risques.

Etre admis ivre aux Urgences alors qu’on a moins de 25 ans n’est pas anodin. Depuis le mois de décembre 2021, ces jeunes se voient offrir un suivi au-delà de leur prise en charge médicale aux Urgences de l’hôpital fribourgeois (HFR). La Direction de la santé et des affaires sociales (DSAS), l’association REPER et l’HFR ont œuvré ensemble à la mise sur pied d’une prise en charge précoce de ces jeunes admis pour une intoxication alcoolique.

Le journal Arcinfo revient sur la conférence "Vapotage, tabac chauffé, snus... Utiles pour réduire les risques chez les fumeurs-euses?" organisée à Neuchâtel en février dernier. Durant cette conférence, deux tabacologues se sont penchés sur les risques associés à la cigarette électronique et au tabac chauffé. Arcinfo revient sur les points importants soulevés durant cette conférence.

Addictaide propose un article sur les liens entre consommation de substances et troubles du comportement alimentaires. Dans cet article, les auteurs mentionnent la recherche de Devoe et al. (2021) qui met en avant que les personnes souffrant d'anorexie mentale auraient plus de risques d'être atteintes de troubles liés aux substances que les personnes qui n'en souffrent pas.

Une forte consommation d'alcool a été associée à l'atrophie du cerveau, à la perte neuronale et à une moins bonne intégrité des fibres de la substance blanche. Cependant, les preuves sont contradictoires quant à savoir si une consommation légère à modérée d'alcool présente des associations négatives similaires avec la structure du cerveau. L'étude "Associations between alcohol consumption and gray and white matter volumes in the UK Biobank" publiée dans la revue Nature montre que les associations négatives entre la consommation d'alcool et la macrostructure et la microstructure du cerveau sont déjà apparentes chez les personnes ne consommant en moyenne qu'une à deux unités d'alcool par jour, et qu'elles se renforcent à mesure que la consommation d'alcool augmente.